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Kand to reclame to droits humanitaire et constitutionel, to ene "Trouble maker" mais kand to rest trankil et laisse dimounes pietine lor toi to ene "Travailleur examplaire"
Esclavage fine aboli? kand? Rocco |
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Elles faisaient pitié à voir
Citation:
Comme dit Rocco l'esclavage pas finn abolie,Mo trouve sa bien triste et honteux ki traite bann fam aussi bas que ça,comme si zot pas finn assez souffert dans zot pays !!!et celui ki finn fer publicité mensongére la li reste inpuni ![]() |
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325 Sri Lankaises campent sur leurs positions à Verdun
Elles étaient 64 à partir mardi soir, puis 38 samedi. Et hier, 76 autres Sri Lankaises dont le contrat de travail est “presque arrivé à terme” ou qui sont considérées comme des “têtes brûlées” ont été déportées. Entre-temps, à Verdun, la grève continue. Elles étaient encore 325 à refuser de se laisser transférer à un dortoir mis à leur disposition hier, préférant camper à la belle étoile dans la cour de l’usine de la Compagnie mauricienne de textile (CMT). Nous avons appris de sources syndicales, hier, qu’un peu plus de 300 Sri Lankaises qui avaient participé au mouvement de grève, lundi, ont accepté de reprendre le travail après qu’on leur eut fait la promesse que s’ouvriront dès cette semaine des discussions sur leurs revendications. Fayzal Ally Beegum, dirigeant de la Textiles Manufacturing and Allied Workers Union, nous confiait, hier, que les 325 autres ne bougeraient pas “aussi longtemps qu’elles n’auraient pas obtenu leur billet d’avion et la confirmation qu’elles auront de la place à bord”. L’arrêt de travail à l’usine de la CMT est le résultat d’un ras-le-bol occasionné par le fait que les Sri Lankaises jugent excessif le nombre d’heures de travail qu’elles doivent fournir sans être adéquatement rétribuées. Fayzal Ally Beegum explique qu’elles ont dû dépenser Rs 60 000 pour venir travailler à Maurice et qu’elles ont été bernées par les agents “qui leur ont fait miroiter des salaires de Rs 25 000 à Rs 30 000 par mois pour 72 heures de travail par semaine.” Les ouvrières parlent aussi de maltraitance de la part de quatre managers sri lankais et d’un manager indien, une situation “insupportable”. Pour le syndicaliste, il est grand temps que le gouvernement légifère pour empêcher les abus concernant les heures de travail. La CMT, de son côté, tente de gérer la situation. Interrogé hier, François Woo, le directeur de la compagnie, a annoncé à l’express qu’un communiqué sera émis, vraisemblablement aujourd’hui. |
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Bien que je sois contre ce genre d'abus,il n'y a pas que ces ouvriéres qui subissent cette façon de faire.Même les mauriciens travaillant en usine doivent prester des journées difficiles et longues.Ce sont les grands-parents qui s'occupent des enfants et parfois de cuire le manger pendant la semaine.Les harcélements,que certaines doivent endurer, sont provoqués par leur propre race.
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![]() ![]() ![]() GRÈVE Les ouvrières sri lankaises décident de leur sort aujourd’hui Qui reste et qui part ? La balle est dans le camp des 325 ouvrières qui ont eu, hier, des réunions d’explications avec un agent recruteur et deux représentants sri lankais. ![]() Ces ouvrières, qui en étaient hier à leur neuvième jour de grève, décideront, aujourd’hui, si elles veulent retourner dans leur pays ou reprendre le chemin du travail. Elles ont affirmé au représentant du bureau de l’emploi du Sri Lanka qu’il était convenu que leur salaire de base soit de 200 dollars (Rs 6 800) et corresponde à 280 heures de travail. Or, affirment-elles, elles sont appelées à faire 315 heures de travail pour le même salaire. Problème d’hébergement Peu avant la réunion, un certain nombre d’ouvrières sri lankaises avaient manifesté le désir de retourner dans leur pays en raison d’un problème d’hébergement. “Le nombre de toilettes est insuffisant ”, déclare une autre Sri Lankaise. Peu avant les différentes rencontres avec les ouvrières, l’agent recruteur a eu une réunion d’explication avec le ministère du Travail. Il a démenti avoir touché de Rs 50 000 à Rs 60 000 contre la promesse d’un emploi à Maurice. “L’agent recruteur a toutefois confirmé avoir touché 325 dollars par travailleur contre la promesse d’un emploi à Maurice”, a déclaré, hier, Fayzall Ally Beegun, représentant syndical des ouvrières sri-lankaises. Les ouvrières de Verdun ont choisi de passer leur journée dans la cour de l’usine et dans les autobus de la CMT. Elles ont refusé d’être relogées dans un dortoir à St.-Pierre. Elles avaient commencé à montrer des signes d’énervement le 5 février. Elles ont par la suite fait trois demandes à la direction : (i) remboursement des congés maladie pour toutes les ouvrières (ii) remboursement des congés maladie pour celles qui avaient attrapé la rougeole pendant 25 jours et (iii) travailler 48 semaines par an au lieu de 52 semaines. Devant le refus de la direction d’accéder à la première et à la troisième requête, elles décident alors de se mettre en grève. 70 d’entre elles ont été rapatriées, mercredi à la suite de cette grève. La direction a décidé de rapatrier 114 Sri Lankaises vendredi soir. Tentative qui a avorté à l’aéroport. Elles réclamaient cinq mois de salaire comme compensation avant de quitter le pays. 350 ouvrières sri lankaises ont repris le travail à Curepipe depuis le transfert des 325 ouvrières. Elles sont considérées par la direction comme des fauteurs de troubles. |
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Kifere pa paye zote ceki doit zote et laisse zote rentre dans zote pays trankil. kand to guette ca foto la, combien mamas ena ladans? combien soeurs, zenfants dimounes, matantes, epouses etc.
Eski nou tia content ki nou dusang all passe misere coumca dans ene lote pays? Rocco |
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Les Sri Lankaises acceptent de loger dans un dortoir
![]() Ces ouvrières, en grève depuis neuf jours, ont accepté d’être transférées à la suite d’une rencontre avec Jagath Wella Watta, président du Sri Lanka Bureau of Foreign Employment. Ce dernier les a convaincues de ne plus passer la nuit dehors. Elles avaient refusé jusqu’ici de loger dans ce dortoir car elles souhaitaient être rapatriées au Sri Lanka depuis que la direction avait décidé de les transférer de Curepipe où elles participaient à une grève. Elles demandaient que leur salaire de base de 200 dollars (Rs 6 800) corresponde à 280 heures de travail et non à 315 heures. Elles voulaient aussi travailler 48 semaines par an au lieu de 52 semaines. Les ouvrières ont passé la majeure partie de la journée à vérifier si tous leurs effets personnels enfermés dans des cartons étaient bien arrivés à leur dortoir. Le président du bureau de l’emploi du Sri Lanka a poursuivi ses rencontres avec elles pour les convaincre de reprendre le travail. A hier après-midi, la majorité voulait toujours rentrer dans leur pays. Le négociateur des Sri Lankaises a accueilli favorablement la décision prise par les grévistes de loger dans un dortoir. “Fort heureusement le bon sens a prévalu”, déclare Fayzal Ally Beegun. Sa requête pour que les représentants du bureau de l’emploi sri lankais ne quittent pas le pays avant que le problème ne soit résolu été favorablement accueillie. Vasant Bunwaree, annonce en effet que deux représentants du bureau de l’emploi ont accepté de continuer à être à Maurice jusqu’au dénouement. Jagath Wella Watta a d’ailleurs fait comprendre aux grévistes qu’elles ont rompu leur contrat de travail et qu’elles sont désormais dans l’illégalité. Elles doivent soit payer elles-mêmes leur billet retour, soit une compagnie d’assurances se charge de leur déplacement. ![]() PUBLICATION La presse sri lankaise écrit ■ Le “Daily Mirror” du Sri Lanka a, hier, fait état des démêlés des ouvrières sri lankaises avec la CMT. Dans un article intitulé “The Mauritius mayhem” (“Pagaille à Maurice”), le journaliste Gagani Weerakoon a interrogé les ouvrières. Elles parlent surtout de la situation des 438 qui dormaient dans la cour de l’usine. Le journaliste a interrogé Sriyalatha Godamamage, qui a évoqué plusieurs problèmes liés au contrat qu’elles ont signé avec leur agent recruteur. Elle affirme qu’elle n’a pas obtenu le salaire promis au Sri Lanka. Elle allègue que les surveillants sri lankais les ont traitées comme des “esclaves”. Certaines finissent de travailler à trois heures du matin pour arriver à leur objectif qui est de produire 200 pièces par jour. Les ouvrières font de graves allégations à propos des relations entre les surveillants et les ouvrières. Elles affirment que l’agent recruteur leur a réclamé entre Rs 45 000 et Rs 50 000 pour une promesse d’emploi à Maurice. Ce dernier a démenti devant le ministère du Travail qui a enquêté sur ce sujet. |
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Nous ban maires moris en place | Dev | Nouvelles de l'Ile Maurice | 0 | 24/10/2006 08h38 |
bravo | SISTA | Discussions Générales | 9 | 08/09/2006 10h34 |
Le destin exister ou nous-même nous fer nous propre destin? | Nathalia | Discussions Générales | 3 | 14/04/2006 10h57 |
bravo | SISTA | Discussions Générales | 1 | 01/04/2006 15h19 |
Lancement Script Moris.net pou Chat avec nous | ZahoOL | Discussions Générales | 11 | 01/11/2004 08h42 |
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