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Brutalité Policière
Voila ene lote cas d’allégation de brutalité policiére, lire li. http://lexpress.mu/display_article.php?news_id=62114 Rocco |
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![]() ![]() ![]() ![]() dans la rubrique "Search" du journal l'express.mu (en haut a droite) j'ai tapé les mots clefs "brutalités policieres"... http://www.lexpress.mu/ ![]() |
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La Police ti toujours employe bann méthode Brutale dépi tou lé tan.
Mé déppli en plis sa pé pran enn bann proportion ki dépasse le bon sens bann du simple citoyen ordinaire. Mo pa tia Kontan exerce sa métier POLICIER la mwa zordi dan Moris ou mem ailleurs. On dirai ki bann Policier pé perdi zot pedale zordi zour et pourtant zot pas OBLIGE employe sa bann méthode zot pé employé la ,pou enn bann résultat médiocre. |
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Nous cose beaucoup lor brutalité policière et nous comdamne ça haut et fort parsqui trappe ene dimoune et batte li à mort, c'est pas acceptable.
Mais comment cyril sabine ine souligner, dans l'autre sens, la vie des policiers pas tout le temps facile que ce soit à maurice, en france ou dans n'importe quel autre pays! Ene l'exemple concret qui nou pé trouver actuellement en france, c'est bann flics qui éna à faire face à la méchanceté gratuite des casseurs. Récemment, ene flic ti gravement blessé! Nous bien conner qui éna l'endroit en france cotte la police na pa capave permette zot aller à 4 ou à 5 mais bizin fer ene descente massive! A maurice pendant les émeutes de 99, éna ene policier qui ti perdi so lavi. Pourtant, cétait pas ene des policiers qui ti accusés du meurtre de Kaya, li ti juste pé faire so boulot... Ene lotte cas dans maurice cotte ene policier ti ene victime c'était il y a quelques années de cela à Goodlands. Ene groupe la police ti alle dans ene Tabajie(bar) ki ti ouvert à ene l'heure cotte li pas supposé ouvert. A l'intérieur, ti éna quelques individus qui ti sou et zot ine tabasse ene policier à mort... |
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![]() ![]() Oui, c'est vrai Nathalia, faut pas mettre tout le monde dans le meme sac !! ![]() ![]() et c'est toujours les bons qui trinquent pour les mauvais ! ... ![]() |
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![]() L'association JUSTICE soutient dans un document : "Encore plus de raisons d'être inquiète" de la brutalité policière Malgré les déclarations du gouvernement et les assurances données par la Commission Nationale des Droits de l'Homme (NHRC), la brutalité policière demeure un sujet préoccupant selon l'association Justice. Celle-ci a eu une rencontre à ce sujet avec l'Attorney General (AG) et le ministre de la Justice et des Droits de l'Homme, Rama Valayden, hier après-midi. Dans un document de référence qui résume leurs arguments au ministre Valayden, les responsables de Justice estiment que cette Ong a " encore plus de raisons d'être inquiète " de la brutalité policière ; " encore plus ", par rapport à la situation dont l'association voulait discuter en septembre 2005. Faute de temps, seule une partie des éléments de ce document a pu être discutée hier entre les deux parties, précise l'association Justice - qui regroupe l'avocat Jean-Claude Bibi, des membres de la société civile et des personnes s'estimant victimes de brutalité policière. Une autre réunion est ainsi prévue pour le 20 mai 2006. Dans ce document, l'Ong Justice se montre très critique envers la NHRC, l'ASP Raddhoa et la Major Crime Investigation Team (MCIT), tout en soulignant l'apparente immunité dont jouissent certains policiers qui agiraient comme des tortionnaires. L'association sollicite des mesures urgentes de la part du gouvernement. Rakesh Ramlogun serait-il mort, et d'autres détenus, comme Roland Said, auraient-ils été brutalisés comme ils l'allèguent, si les mesures adéquates avaient été prises à temps ?, s'interroge le groupe Justice. Selon les dires de cette association, " it is true that the climate of impunity has somewhat changed since the killing of Mr. Ramlogun and that the arrest of the police officers involved is likely to serve as a deterrent for a while. But a slight and temporary change in climate is not enough. It is high time to reverse practically the policy of impunity ". L'Ong Justice pointe du doigt la NHRC pour ce qu'elle estime être un manque d'action dans des cas de brutalité policière et pour son regard sur ce problème - de la manière dont elle est présentée dans le dernier rapport annuel de la commission. Cette association relève aussi la contradiction qui existe entre les déclarations des autorités mauriciennes sur le combat contre la brutalité policière, et la promotion de l'officier de police Raddhoa malgré les accusations de brutalité à son encontre, et son implication alléguée dans des pratiques de déni de droits et de mauvais traitements, selon la NHRC, dans le cas de la plainte de Martine Desmarais. Manque de transparence D'après ce regroupement mené par Me Jean-Claude Bibi, les faits constatés, " raise serious doubts about your government's commitment to eliminate police violence and to terminate the policy of impunity hitherto practised ". Le document égratigne aussi le Premier ministre sortant pour les assurances sans suite, qui auraient été données dans l'affaire Martine Desmarais. La suspension des policiers soupçonnés dans des cas de brutalité et les suites judiciaires, se font souvent attendre, estime par ailleurs le mouvement. Hormis la brutalité policière physique, cette association dénonce aussi le déni de droits humains dans le cadre d'interventions policières, tels le refus d'accès à un conseiller légal et le manque de transparence sur le lieu de détention. D'autre part l'association Justice demande une révision du chapitre 2 de la Constitution de Maurice afin de protéger les droits des Mauriciens, cela en adéquation avec l'International Convenant on Civil and Political Rights. Elle souhaite également une action plus vigoureuse d'une NHRC " transformée " (en référence à un souhait également exprimé par Rama Valayden, dit-elle) ; et des visites inopinées fréquentes de la NHRC dans les cellules policières et dans les prisons. Et d'avancer soutenir l'idée émise par cette Commission, pour l'institution d'un Human Rights Committee de parlementaires. Le document en question comporte aussi d'autres propositions du regroupement à Rama Valayden, notamment des officiers formés (incluant des avocats) dans le personnel de l'organisation appelée à remplacer le ComplaintsInvestigation Bureau (CIB) ; une révision du cas de Jerry Cadine (où la version de la CID de Curepipe aurait été privilégiée de façon inexplicable, selon l'association Justice) ; ainsi que le choix d'une date pour la création de la Truth and Justice Commission, longtemps évoquée au sujet de l'affaire Kaya. ref: www.lemauricien.com (11 mai 2006) ![]() ![]() ![]() |
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Un pharmacien accuse des policiers de brutalité
Le jeune homme n’en revient toujours pas. Il n’arrive pas à croire que c’est entre les mains d’agents chargés d’assurer l’ordre qu’il a vécu les pires moments de sa vie. Cela s’est passé le 12 septembre dernier. Et cette agression lui a valu deux jours d’immobilisation à l’hôpital Dr A.G. Jeetoo, à Port-Louis. Selon la version de la victime, âgée de 32 ans et qui a saisi le Police Complaints Bureau, c’est une banale affaire qui a dégénéré et l’a mis en fâcheuse position. Il est 21 h 30, ce 12 septembre, son frère cadet, au volant de sa voiture, l’appelle pour l’informer que des policiers du poste de Bain-des-Dames envisagent de le prendre en contravention. La police lui reproche la présence sur sa plaque d’immatriculation de l’inscription ‘E.A.L. Man Hin’, le nom d’un concessionnaire d’automobile. Intrigué, le pharmacien, habitant de la capitale, se rend à la route Ménagerie, Cassis, à la rescousse de son frère. Contravention illogique ... Arrivé sur place, affirme-t-il, les trois policiers lui auraient balancé, agressifs : « To ène bel mari-là. » Surpris par cette attitude, il devait faire comprendre aux policiers qu’il n’y a aucune logique dans cette contravention. « Les plaques d’immatriculation des véhicules de la police portent également l’inscription du concessionnaire », fait-il remarquer. « Mo dire bane policiers là ki, dan ça cas-là, zotte besoin donne contravention tous bane jeeps la police et bane motards kine écrire Iframac et Emcar lor zotte plaque numéro… » À peine a-t-il fait cette remarque, que les policiers, pris de colère, lui auraient répliqué : « Nou problème pas are zotte, mais are toi… » Effrayé par le comportement des policiers, le pharmacien leur suggéra de tout régler au poste. Il prit place dans sa voiture et se dirigea vers le poste des Line Barracks. Une fois sur place, la victime allègue avoir été malmenée par les policiers. « Zotte dire moi ki mone vine faire ici, pa ti dire nou alle Bain-des-Dames... Ils m’ont mis dans une fourgonnette, ils m’ont bloqué les deux mains et ont commencé à m’insulter et à me frapper. J’ai reçu plusieurs coups derrière l’oreille, sur la tête et sur le front... » Puis, le pharmacien a été conduit au poste de police de Bain-des-Dames. Les policiers l’ont alors présenté au sergent de service. « A peine, mo commence explique sergent là ki fine arrivé, mo trouve policier ki ti batte moi so chemise déchirée, li paraître couma abriti, li vine dire sergent ki mone batte li… » Souffrant de douleurs et choqué, il devait interroger le sergent de police. « Mone dir li ki mo pa capave batte ène dimoune et zotte deux collègues assisé gueter. » Il s’est plaint à nouveau de douleurs, mais le sergent aurait fait la sourde oreille. « A maintes reprises, je leur ai dit que j’avais mal, mais ils ne m’ont pas emmené à l’hôpital. Ils m’ont déposé devant le poste des Line Barracks ». Le pharmacien doit son salut à son frère – qui n’a cessé le va-et-vient entre les Casernes Centrales et le poste de police de Bain-des-Dames – et l’a conduit à l’hôpital Dr A.G. Jeetoo. Au Police Press Office, on assure que le Police Complaints Bureau mènera son enquête en toute impartialité et en toute transparence. |
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brutalité, policière |
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Ene lote K 2 brutalité | Rocco | Divers. Miscellaneous. | 63 | 05/06/2006 15h49 |
Décès de Ras Ti Lang | RadioMoris | Discussions Générales | 43 | 08/08/2004 23h07 |
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